Ayant lu des articles, écouter des émissions de radio ou de télévision,
depuis tant d'années où des personnalités publiques parlent de Claude, j'ai eu envie de donner la parole aux anonymes... une fois n'est pas coutume !

Cela va des fans de son vivant jusqu'à aujourd'hui.
Ces admirateurs (vous, moi !) nous continuons à lui vouer une grande admiration.

Certains connaissent ses chansons par coeur, d'autres ont eu la chance de le côtoyer, de le voir en concert... certaines lui ont touchés la main, les plus hardies lui ont volés un baiser et puis d'autres encore sont devenus collectionneurs.

Et en fin de compte, ce sont ces anonymes qui en parlent le mieux !
Ceux pour qui Claude chantait et qui n'ont pas oublié ce qu'il leur a apporté.

(C'est ainsi que dans la troisème vidéo, vous pouvez m'apercevoir, très fier d'avoir acheter une bouteille d'eau de toilette "Eau Noire")

En bonus, retrouvez Claude lui-même dans une parodie sur les fans
et deux chansons clôturant cet article, l'une en son hommage par ses fans
et la dernière par Claude.

Suite aux derniers rebondissements qui touchent la famille Hallyday, le magazine
"Le Parisien" a contacté le fils de claude François qui a répondu aux questions. concernant son propre héritage et bien sûr également celui de son frère Marc.

Pour certains, ce sera peut être une découverte...
Mais, par exemple pour moi qui ne suit pas forcément au courant de la totalité de tout se qui se dit sur Claude (dernier exemple en date : l'existence de Julie !) et bien, ce qu'il explique ici était déjà paru précédemment...
Mais, comme je vous le répète souvent depuis fin de l'année passée :

"Il faut absolument que les journalistes se mettent
quelque chose sous la dent !"

Un détail qui n'a pas été évoqué dans cet article, mais que j'avais lu ailleurs, mais comme il n'était pas question de Claude François, je n'avais pas ressenti la nécessité de vous en parler. En fait, il était question que contrairement à Claude, les enfants de Johnny ne pouvaient prétendre à des droits d'auteur puisque, selon cette source, celui-ci n'avait jamais composé, ni contribué aux textes de ses chansons....
Je ne vous en dirai rien de plus car là n'est pas mon propos.

Voici ci-dessous quelques extraits de cette interview :

Comment s'est passé l'héritage de votre père ?

D’abord, la question de refuser la succession s’est posée.
Mon père avait laissé près de 10 millions de francs de dettes, ce qui était une somme énorme en 1978. Il faut savoir que des vedettes de la chanson comme mon père ou Johnny avaient un train de vie de star américaine connue dans le monde entier alors qu’ils n’ont du succès que dans leur pays. Quand mon père est mort, un tuteur de biens a été nommé et un tuteur de personne, en l’occurrence notre mère (NDLR : Isabelle Forêt), a été désigné alors que nous étions mineurs.
C’est ainsi qu’a été décidé rapidement de vendre le moulin de Dannemois, 
la résidence de mon père où il y avait un jardin, une piscine, 100 m2 à chauffer, deux gardiens, des frais d’entretien abyssaux.

A quel moment vous êtes-vous intéressé au patrimoine musicale de votre père ?

À l’âge de 25 ans en 1994. Avant je me cherchais.
J’ai fait des fringues, un peu l’animateur sur TF 1. J’ai rencontré les différentes maisons de disques qui possédaient les enregistrements et nous avons commencé à travailler sur des compilations, des versions karaoké. En tant qu’héritiers, mon frère et moi avions à l’époque les droits d’auteur et d’interprète ainsi que les droits d’édition sur les chansons (NDLR : les droits sur la partition et le texte d'une chanson) que nous avons finalement revendus.

Pourquoi ?

Parce que les relations avec les héritiers de certains coauteurs des chansons de mon père devenaient explosives. Nous voulions donner l’autorisation d’utilisation des chansons et eux refusaient ou faisaient traîner. Je le regrette un peu aujourd’hui car c’était un trésor mais ça devenait ingérable.

Combien rapporte l'oeuvre de Claude François aujourd'hui ?

C’est un chiffre d’affaires à six zéros, plusieurs millions par an quand on compte tout : les ventes de disques, les droits d’exploitation, d’utilisation dans des films des publicités, les reprises comme le disque de M. Pokora.  Et puis il y a au milieu de tout ça « My way » (NDLR : la version américaine de "Comme d'habitude", coécrite et co-composée par Claude François) qui continue à faire le tour du monde.

Comment faites-vous vivre le répertoire de votre père ?

En accord avec mon frère qui m’a donné procuration, j’ai le droit moral sur ses chansons, c’est-à-dire que je donne l’autorisation d’utiliser son répertoire, son image, son histoire dans un film, une publicité, un spectacle. L’idée est de créer des événements ou de l’actualité, mais pas trop. S’il y a des choses tous les ans, vous êtes sûrs de planter un projet sur deux. Je cautionne un projet tous les cinq ans. Par exemple, à l’époque de la sortie de "Podium" en 2004, le film de Yann Moix avec Benoît Poelvoorde qui jouait un sosie de mon père, Antoine de Caunes préparait aussi un biopic, déjà avec Jérémie Rénier (qui a joué ensuite Claude François dans « Cloclo » quelques années plus tard). J’ai finalement préféré dire oui à « Podium » et Antoine de Caunes a abandonné son projet car il pouvait difficilement le mener à bien sans avoir le droit d’utiliser les chansons.

(Extraits de l'interview sur la page http://www.leparisien.fr 
des propos recueillis par Emmanuel Marolle, daté du 14 février 2018) 

Ce titre est celui d'une page

live-arena.com

L'article parlent des artistes en général "vivants" qui font appel à cette nouvelle technologie et aux ayants-droits des artistes décédés qui donnent leurs accords.

Et donc, je me suis rappelé :
 

J'étais allé voir le spectacle au Forest National.
Et comme je n'étais pas encore revenu sur ce blog... qui maintenant alimentera ma page et mon groupe Claude François. Je voulais savoir si vous êtes allé également voir ce spectacle ? Mais surtout, qu'en avez-vous pensé ?

Personnellement, j'avais été assez mitigé sur la question...
A certains moments, l'illusion était parfaite
(je pense principalement à Dalida descendant des escaliers tout blanc... ).
J'avais très "peur" de découvrir Claude et ensuite, j'avais trouvé qu'il était assez réussi.
D'ailleurs en Belgique, c'est celui qui a reçu le plus d'applaudissements avec Mike Brant.

En fait, il ne fallait pas être trop proche de la scène.
Je pense que c'était préférable pour avoir une idée d'ensemble mais aussi afin de ne pas voir les défauts... car il y en avait !
Avec le recul, je me dis que la cible de ce type de spectacle est principalement pour les fans n'ayant pas eu la chance de voir ces artistes en "vrai".

Car, pour les autres, c'est surtout un parfum de nostalgie.

Enfin une actualité en rapport avec Claude François
qui ne baigne pas dans le scandale !

Prisca, l’une des plus célèbres Claudettes, ces danseuses de Claude François, vient de sortir un livre qu’elle dédicacera au salon du livre de Mennecy samedi et dimanche. L’occasion de raconter des milliers d’anecdotes.

"Nadine, cette enfant d’Orly (Val-de-Marne), que tout le monde connaît sous le nom de Prisca, était une des Claudettes, ces danseuses qui accompagnaient le chanteur populaire. A 60 ans, elle vient de sortir un livre racontant sa vie et celle de son idole, décédé il y a 40 ans"

Livre que, bien entendu, je possède déjà dans ma collection.

Son titre

  "DANSE MA VIE"

Mais, en plus, la célèbre Clodette se prête volontiers au nombreuses questions
des nombreux fans présents. Car explique-t-elle :

"Je n’attends que ça de répondre aux questions, de partager qui il était avec les gens, lance Prisca. Car moi, j’étais une fan de Cloclo au départ. J’ai eu beaucoup de chance de réaliser mon rêve d’enfant. Je suis la seule à être passée des groupies devant sa maison à son cercle rapproché."

Pour voir l'article dans son intégralité, voici le lien ci-dessous :
http://www.leparisien.fr/mennecy-91540/festival-du-livre-de-mennecy-la-claudette-vous-raconte-son-claude-francois-02-02-2018-7538238.php

Pour rappel, c'est Prisca Ligeron qui est également à l'origine de la création
des petites Clodinettes (voir ci-dessous)

Décidément, le pauvre Cloclo doit se retourner dans sa tombe.
Ces journalistes sont vraiment des fouilles-merde !

Que Claude aimait les très jeunes filles, tout le monde le savait.
Ça n'a jamais été un secret puisque l'intéressé se confia lui-même sur ce sujet :

" Je les aime jusqu'à 17, 18 ans", confiait-il ainsi à l'époque. "Après je commence à me méfier. Dieu seul sait si j'ai des aventures au-delà de 18 ans.  Les filles commencent à réfléchir, elles ne sont plus naturelles. Ça commence même quelquefois avant. "

Ce qu'on oublie de dire, c'est que la grosse majorité de son public était constitué
de ces très jeunes filles. Donc forcément qu'ils les appréciaient !
Ce sont elles qui achetaient ses disques, qui avaient payés pour être aux premières places à ses concerts, qui hurlaient dès son apparition
que ce soit à la télévision ou en concert
 et aussi c'étaient elles qui se jetaient à son cou dès qu'il mettait le nez dehors !

Quel homme normalement constitué n'aurait pas apprécié ?

Mais, ce qu'on ne dit pas dans cet article, c'est que c'était le quotidien de
toutes les idoles de cette époque, mais bizarrement, il n'y a que Cloclo
qui est cité... Mais, c'est vrai ! Ça va être l'anniversaire de son décès et donc,
tout obsédé qu'on veut nous le faire croire... il fait toujours vendre !!!

Et enfin, si comme les laissent sous-entendre ces articles,
il aurait profiter de celles-ci, aucune à ma connaissance n'a jamais porté
plainte contre lui ? Et pourtant à l'époque, comme à l'heure actuelle, 
une certaine presse se serait empressée de le salir si il y avait eu le moindre soupçon...

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Autre sujet récurrent qui refait surface à chaque anniversaire, 
son caractère, je cite : " perfectionniste, tyrannique, colérique, possessif, infidèle, maladivement jaloux..."

Je ne comprend pas pourquoi une certaine presse
avec la complicité des médias nous ressassent toujours 
le même refrain ?

Se pourrait-il qu'à un anniversaire, on évoque un peu ses côtés positifs ?
Parce que comme tout être humain, il en avait également.

Chaque année, c'est la même chose !
Y en a marre !!!!