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29 novembre 2020 7 29 /11 /novembre /2020 09:59
Merci à quelques membres de mon groupe de Facebook

Puisque encore une fois, j'avais abandonné ce blog pour une période indéterminée, mais que tout compte fait, je ne suis pas entièrement satisfait de l'audience et surtout de la participation globale des membres du groupe sur Facebook que j'avais créé, il y a quelques années... je reviens donc ici où je me sens chez moi.

 

Je tiens tout de même à dire que car grâce à ce groupe, je me suis trouvé de nouvelles connaissances qui sont très sympathiques et donc,
je relèverai quelques noms :

 

Sylvie Liabeuf qui est devenue ma première collaboratrice, mais également une copine bien sympa qui m'a déjà rendu plusieurs services et avec laquelle, j'ai déjà eu l'occasion de discuter via caméra.


Dominique Russo, ma deuxième collaboratrice, qui n'oublie jamais un petit mot gentil
mais qui aussi participe activement à ce qui est proposé...

 

(En fait, des modératrices  qui veillent sur le groupe lorsque je suis absent)

 

ensuite...

 

il y a quelques noms qui se détachent car elles sont là depuis longtemps
et répondent fidèlement aux quelques sujets de l'actualité et autres publications.

 

Ces personnes sont :

Martine Nicot - Patricia Lottin - Jacqueline Victor - Isabelle Magniez
Patricia Van Dyck et Yolande Van Belle (présidentes du 
Club Magnolias for Claude Francois Belgium)

 

et puis bien sûr, il y a quelques ex-collègues qui me sont restés fidèles :

Cathy Genaux - Gilberte Deraedt - Karine Andrzejewski

 

et aussi Bernard Hens (le seul membre qui n'est pas de ma famille, qui na jamais travaillé avec moi mais que j'ai eu le plaisir de faire la connaissance car nous habitons non loin l'un de l'autre, lors de Salons de collectionneurs.

 

et, bien qu'elles ne soient pas aussi assidues que j'aimerais... 
... mais qui n'étaient pas fans de Claude et donc, qui font tout de même de temps en temps l'effort de venir mettre un "j'aime" ou un petit mot et donc, j'apprécie :

Véronique Bronchain (ma meilleure amie depuis plus de 30 ans)
Isabelle Antoine (mon amie d'enfance)


et enfin :
ma petite soeur : Magali Delabie
(toujours présente, lorsque j'ai un soucis technique - mais fan du groupe Nirvana !!)
et mes cousins : Marianne et Franck Carloni que j'embrasse au passage.

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27 novembre 2020 5 27 /11 /novembre /2020 16:16

Cet article est reposté depuis Musicali la musique à découvrir daniel bonin.

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24 novembre 2020 2 24 /11 /novembre /2020 08:02
Un fond d'écran superbe !

Comme, tout doucement, je me remets à "travailler" sur mon blog...
... mais c'est plus un plaisir qu'autre chose.


Voici une des nouvelles créations de henry80 dont vous trouverez le lien vers son blog ci-contre à la droite de votre écran, mais un peu plus bas. Ca va ? Vous avez trouvé ?

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Published by FRED - dans Fan de Cloclo
16 octobre 2018 2 16 /10 /octobre /2018 21:42
Jean-Pierre Bourtayre
dit "Boubou"

 

 

Jean-Pierre Bourtayre, compositeur est né à Paris le 31 janvier 1942, son père,
Henri Bourtayre, est un compositeur à succès
(il fut chanté par Tino Rossi et Luis Mariano, entre autres).


C’est donc tout naturellement que le rejeton s’intéresse à la musique.
Jean-Pierre entre au conservatoire, mais son séjour dans l’institution
sera de courte durée. En effet, ses préférences allant au rock et au twist,
comme la majorité des jeunes de cette génération, il se fait chasser du conservatoire.

 

Il démarre une carrière dans la chanson... par Les Chats Sauvages ("Oh! Lady, Cousine", 1961), Dick Rivers ("Baby John", "Un homme plein d’argent", 1970), Dany Boy et ses pénitents (1962, "Il y a longtemps" et "Pour décrocher l’amour").
 Les interprètes se multiplient : Eddy Mitchell
 ("Et s’il n’en reste qu’un", 1966,
"L’épopée du rock", "Paul") Richard Anthony
 ("Le grand meaulnes", "Qu’est-ce qui m’attend"), Hugues Aufray  ("Adieu monsieur le professeur", 1968)... 

 

A la fin des années 60, Jean-Pierre Bourtayre est sur tout les fronts. il compose pour Françoise Hardy ("Toi je ne t’oublierais pas", 1968), Jean-Claude Pascal
 ("Et nous avons parlé de toi", 1969) France Gall ("Rue de l’abricot", 1968,
"Homme tout petit", "Soleil au coeur", 1969)....

 

1970, le compositeur devient chanteur, il enregistre ("Et nous avons parlé de toi"
et "De décembre à décembre") 1971, il participe au concours Eurovision
(La chanson "Un banc, un arbre, une rue") par Séverine remporte la Victoire !
elle représente Monaco !
Et enfin, début des années 70, Jean-Pierre démarre
une longue carrière avec Claude François qui fait de lui son compositeur attitré
et les succès s'enchaînent !

 

Claude François et Jean-Pierre Bourtayre

 

Et c'est : "Parce que je t’aime mon enfant" (1970), "Y’a le printemps qui chante" (1972), "Chanson populaire" (1973), "Le téléphone pleure" 1974, en duo avec Frédérique,
"Le chanteur malheureux", "Toi et moi contre le monde entier",
"La musique américaine".

Seule la mort du chanteur, en 1978, mettra fin à cette collaboration, juste après
deux ultimes succès : "Alexandrie Alexandra" et "Magnolias for ever".
 
Début 1971, Jean-Pierre deviendra même directeur artistique des disques Flèche en remplacement de Michel Poulain. En plus de cette fonction, il est à la fois compositeur, conseiller, souffre-douleur mai surtout un ami.

 

Bien des années après son père, Jean-Pierre Bourtayre collabore avec Tino Rossi ("Chantons la même chanson") que l’interprète enregistre en duo avec son fils Laurent en 1976, puis ("La vie commence à soixante ans", en 1978). Il compose également des génériques téléfilms : "Le Grand Meaulnes", "Arsène Lupin" et d'émissions télévisées "Stars", "Champs Elisées"...

 

Jean-Pierre Bourtayre a aussi été vice-président de la SACEM. Aujourd'hui, il est toujours très actif au sein de l'organisation où il est administrateur.

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3 juin 2018 7 03 /06 /juin /2018 11:11
Michel Bourdais

 

 

Michel Bourdais est né en 1943 à Nantes (Loire-Atlantique).
Dès l’âge de seize ans, tout en préparant le baccalauréat, Michel participe
à des expositions de peintures et de dessins à 
Nantes et sa région. 

 

Durant cette période, il s'intéresse également au théâtre.
Voici une petite anecdote qu'il m'a raconté lui-même : 

 

"Très jeune, j’ai commencé à faire du théâtre.
Pour mon premier rôle j’avais six ans. J’interprétais le petit Georges Fortier
dans La porteuse de pain, pièce adaptée du roman de Xavier de Montepin.
C’est un mélo qui a eu beaucoup de succès.
Or, au moment où les gendarmes venaient injustement arrêter
celle qui jouait le rôle de ma mère, l’émotion était si forte
que les larmes coulaient le long de mes joues.
Si bien qu’en me voyant vivre si intensément la scène,
tous les spectateurs sortaient leur mouchoir et pleuraient.
A chaque représentation il en était ainsi.
C’était assez perturbant car je vivais cette scène comme si les gendarmes
arrêtaient ma propre mère.

Ce souvenir ne m’a jamais quitté. Pour autant, cela ne m’a pas dégoûté du théâtre !"

 

En 1962, Charles Aznavour, alors que sa tournée passe par Nantes,
repère, en vitrine de la galerie Courbet, le portrait que Michel Bourdais a fait de lui
et l’achète. L'année suivante, d’autres artistes feront de même, notamment Richard Anthony, Françoise Hardy, Leny Escudero… 

 

"J’ai quitté Nantes pour Paris pour continuer mes études supérieures et démarrer aussi des études de réalisation cinéma. Pour vivre à Paris, j’avais besoin d’argent. Or, à Nantes, j’avais rencontré Richard Anthony lorsqu’il m’avait acheté le portrait que je lui avais dessiné. Il m’avait alors invité à venir le voir chez lui, à Levis Saint-Nom. J’y suis allé et c’est là qu’il me conseilla de me présenter à la rédaction du magazine Salut Les Copains. J’ai eu la chance d’être immédiatement engagé par Daniel Filipacchi."

 

Arrivé à Paris, Michel Bourdais  Michel Bourdais travaille pour le magazine
"Salut les Copains". Claude François ayant entendu parler du talent de Michel, 
insiste alors pour qu'il lui dessine un portrait aussi réaliste que celui qu’il a réalisé pour Richard Anthony. 

 

Michel Bourdais
Michel Bourdais au début des années 60

 

Je laisse la parole à Michel :

 

"Une histoire étalée sur un peu plus de trois années (1963 à décembre 1966) et qui
me touche toujours plus de 50 ans après. 

 

 Le jour où il s’est intéressé à mes dessins, Claude François était
une toute récente vedette mais, pour dépasser ce stade et devenir la star
qu’il ambitionnait d’être, tout restait encore à élaborer et à mettre en place.
Il n’avait pas encore une idée précise et définie de l’orientation artistique
qu’il devait prendre pour y parvenir. Tout encore à l’idée d’être connu et reconnu,
il misait exclusivement sur le pouvoir de l’énergie, sur les sauts et danses acrobatiques
pour mettre le feu durant les spectacles, sur la qualité du son, avec une obsession
quasi maniaque du petit détail, quitte à en être exaspérant pour beaucoup.

Il faut reconnaître qu’il avait aussi déjà pour lui, l’oreille, le tempo et

savait flairer les bonnes mélodies. Ce qui n’est pas négligeable !

 

La réalisation du dessin que je lui fis suscita une profonde et longue réflexion
sur une autre dimension, plus comportementale.
Les jours et mois qui suivirent, nous avons beaucoup discuté à propos
de sourire, coiffure, attitude, décontraction...

Commença alors une longue recherche sur son image, avec ses questionnements,
ses doutes…  jusqu’au déclic des Clodettes.

 

C’est toute cette recherche qui fut passionnante et ce que j’ai vécu
avec Claude n’est certainement pas étranger au fait que j’ai participé
concrètement à plusieurs débuts de carrières d’artistes.
Ils sont toujours très enthousiasmants et toniques.
Un bon démarrage n’amène pas toujours à une longue carrière
mais cela est une autre histoire. Il faut l’accepter dès le départ.

 

Dessin de Claude François
Le plus beau dessin de Claude jamais réalisé !

 

Je trouve très dommage que l’on ne parle pratiquement jamais
de cette période concernant Claude.
Pas assez médiatique, peut-être ? Pourtant elle est essentielle.
Et quand on l’évoque un peu, c’est souvent pour dire quelques inventions
qui sont assez éloignées de la réalité."

 

Durant cette même période, Michel Bourdais expérimente plusieurs domaines artistiques. Il est photographe d’artistes du show-biz,  comédien,
 
assistant réalisateur stagiaire…

Au tout début des années 1970, alors que le concept d’interdisciplinarité n’est pas encore implanté dans les habitudes scolaires, il le matérialise en proposant, aux collégiens, la réalisation de films et de diaporamas. à ce travail de recherche, mais Michel Bourdais continue de réaliser des dessins,
des photos d’artistes du théâtre et du cinéma.

 

A partir de 1990, il écrit et coécrit de nombreux ouvrages scientifiques et pédagogiques, tout en continuant de photographier des artistes et ses activités de conseil auprès d’eux.

 

En 2008, Michel raconte dans ce magnifique ouvrage,
l'histoire de ce dessin qu'il me dédicace peu de temps après
en toute simplicité...

 

 

Michel Bourdais
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31 mars 2018 6 31 /03 /mars /2018 05:34
René Urtreger

 

René Urtreger est né à Paris en 1934 d'une famille d’immigrants polonais.
Il fait des études de piano classique avant de s’immerger dans le jazz.
Il devient une véritable légende dans les milieux du jazz et de la variété car s'étant illustré auprès des plus grands artistes de la scène jazz internationale, Jay Jay Johnson, Stan Getz, Zoot Sims, Stéphane Grappelli, Bobby Jaspar, René Thomas, Lionel Hampton, Chet Baker ou encore Lester Young.

 

Il enregistre en 1957 la musique du film "Ascenseur pour l’Echafaud" avec Miles Davis, Barney Wilen, Pierre Michelot (il formera avec lui et Daniel Humair le trio HUM) et Kenny Clarke.
En 1960, il obtient le prix Django Reinhardt pour le disque HUM.

 

 

En 1960, Le Roi René (titre du livre qu'Agnès Desarthe lui a consacré en 2016) "parce qu’il a vu mourir beaucoup de musiciens et qu’il s’est senti lui aussi en danger qu’il est sorti à un moment de l’univers du jazz pour faire de la variété", fait partie de l'orchestre de Claude François, (preuve que Claude ne s'entourait que des meilleurs !).
Il travaille aussi avec Serge Gainsbourg et Sacha Distel, composant par ailleurs 
des musiques de film pour Claude Berri...

 

Un soir de l’année 1964, Claude François entre dans le Blue Note, un club chic sur les Champs Elysées. "Il voulait m'engageait." René Urtreger a du respect pour l’homme. Il devient son pianiste. En moins d’un an, il donne à ses côtés 250 galas et tient l’Olympia pendant trois semaines. Ils joueront des titres comme Belles, belles, belles…. Avec Claude François, il a eu des bons moments sur scène. Surtout quand il s’est mis à jouer du rhythm and blues. En 1973, la star devient son témoin de mariage avec l'une de ses Clodettes, Lydia Baronian.

 

 

Ci-dessous, le disque vinyle de décembre 1964 "Claude François à l'Olympia"
qui est tiré de l'enregistrement effectué à l'Olympia de Paris où Claude a tenu l'affiche du 24 septembre au 13 octobre 1964.

Ci-dessous, le disque vinyle de décembre 1969 "Claude François à l'Olympia"
qui est tiré de l'enregistrement effectué à l'Olympia de Paris où Claude a tenu l'affiche du 19 au 30 novembre 1969.

 

Sur ces disques que j'ai la chance d'avoir dans ma collection,
il est indiqué que Claude est accompagné du Grand Orchestre de l'Olympia et des musiciens de Claude François dont René URTREGER au piano électronique que vous
découvrez sur cette photo.

 

Dans la série : "Ils parlent de Claude François"
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29 mars 2018 4 29 /03 /mars /2018 11:15
Bernard Estardy, surnommé Le Baron
(1939 - 2006)

Bernard Estardy est né en 1939. Il est le fils d'une chanteuse lyrique, il est bercé dès son plus jeune âge par les plus grands airs de musique classique. L'hôtel particulier dans lequel il grandit devient vite un repaire pour tous ces amis musiciens avec lesquels il partage la tendance Jazz du moment. Après des écoles supérieures, et une courte carrière en tant qu'ingénieur en Génie Civil, Bernard abandonne tout pour la musique et les tournées. "Le caveau de la montagne", "Le chat qui pêche", au début des années 60 il écume les scènes françaises. 
Il commence sa carrière de pianiste de Jazz au côté de Bill Coleman, Nancy Sinatra, Nancy Holloway et au côté de son frère d'arme, Nino Ferrer. Ensemble ils montent un groupe appelé "les Gottamou". A la batterie Richard Hertel, Nino au chant et à la basse, et Bernard à l'orgue. Le trio est imparable, les succès s'enchainent, "Gaston", "les cornichons", "Mirza"...

 

 

Quelques années plus tard, Bernard est las des tournées qui n'en finissent plus. Son ami, Georges Chatelain lui propose alors de monter un studio d'enregistrement sur Paris, un lieu différent, plus humain, plus intimiste, qui changerait du classicisme froid et austère des grands studios parisiens. Férus de technologie et bidouilleurs dans l'âme les deux compères relèvent les manches et construisent le studio de leurs propres mains avec l'aide de Günther Loof, un électronicien tout droit sorti de chez Revox et Studer qui leur concevra toutes les machines. 
Jean-Louis Proust, l'assistant complice et Mimi la femme de Bernard viendront compléter le paysage du studio. Une ambiance feutrée rappelant l'univers des saloons Western, le studio CBE (Chatelain-Bisson-Estardy) était né.
Nous sommes en 1966.

 

 

Surnommé «le géant» par sa fille (il faisait plus de 2 mètres) et «le baron» par les âmes damnées du milieu dont il était un cador indiscutable – la musique populaire française –, Bernard Estardy est absolument emblématique de cette caste vénérée par les connaisseurs mais dont le nom est ignoré par la grande majorité de ceux qui ont dansé, aimé, pleuré sur les hits qu'ils ont largement participé à faire advenir. Il est à la fois ingénieur du son de pointe, arrangeur surdoué et pianiste et sa période d'activité court des années 1960 aux années 1990. On peut y croiser Johnny Halliday, Carlos, Françoise Hardy, Boris Vian, Lee Hazel Wood, Ralph Mc tell, Gérard Manset, Salvatore Dali, Dick Rivers, Adamo, Serge Gainsbourg, Richard Bohringer, Patrick Dewaere, Celine Dion et, bien sûr Claude François.

 

Estardy enregistre entre autres, Thierry Hazard (Le Jerk), Bibie (Tout doucement), Marc Lavoine (Elle a les yeux révolver), Patricia Kaas (D'Allemagne), Pierre Bachelet (Les Corons) ou encore Jean-Jacques Lafon (Lé géant de papier), Carlos (Big Bisou) et bien entendu Claude François (Alexandrie Alexandra, Magnolias for ever et surtout Toi et le soleil).

 

Bernard Estardy, Claude François et Jean-Pierre Bourtayre.

 

Au début des années 70,  les producteurs et les Directeur artistiques n'hésitent pas à y envoyer leurs jeunes poulains, sûr de la réussite qui s'en suivra : Michel sardou, Michel Jonasz, Francis Cabrel, Julien Clerc, Gérard Lenorman... Le studio CBE est alors le lieu incontournable où tout le monde veut se faire enregistrer et mixer par "Le Géant". Tellement sollicité le studio fonctionne presque 24h/24H et les titres s'enchaînent.

 

Durant les années 80 et 90 le studio continuent d'enregistrer les plus grandes références et continue à en découvrir d'autres : Patricia Kaas, Marc Lavoine, Bibi ... Le succès ne désemplit pas. Fin des années 90 l'homme se retire de la scène musicale.  Avec près de 400 millions d'albums vendus et plus de 15000 chansons enregistrées, le Baron Bernard Estardy "le Géant de la chanson" comme ils l'appellent dans le métier, tire sa révérence en 2006. Il disparaît alors qu'il est aux manettes de sa console. En plus de 40 ans de carrière, l'homme est devenue une légende internationale, et son studio un lieu mythique.

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17 mars 2018 6 17 /03 /mars /2018 07:51
Michel Cassez dit "Gaston'
Michel Cassez dit "Gaston'
Michel Cassez dit Gaston,
ex-chef d'orchestre de Claude François

 

Michel Cassez est né le 28 décembre 1931
dans le Nord de la France à Wattrelos.


Il entre dans la carrière artistique comme saxo baryton à Marseille
avec son ami Marcel Zanini ("Tu veux ou tu veux pas ?"), dans les années 50.
Il  joue ensuite dans l'orchestre d'Aimé Barelli à Monte-Carlo où il rencontre Claude qui n'est encore que batteur dans l'orchestre du Sporting Club et devient son ami (leurs épouses sont amies). C'est à cette époque qu'il devient également auteur de chansons pour
notamment Richard Anthony, les Chats Sauvages, les Vautours et Dick Rivers.

 

Il retrouve Claude peu avant la tournée 1965 où il est tout d'abord saxo et boutte-en-train du groupe de scène avant de devenir son chef d'orchestre, c'est Claude qui le surnommera "Gaston" suite à un retard lors d'un concert mais qu'il a le culot de tourner en gag improvisé ce qui fit rire le public, aussi bien qu'à la fin du spectacle. Claude lui dit alors : "Formidable ! A partir d'aujourd'hui, tu entre en retard chaque jour" et ce surnom lui est toujours resté. Parallèlement à son emploi dans l'orchestre de Claude, il devient chanteur et c'est Claude qui le parraine en écrivant le texte au verso de son premier super 45 tours en 1965 chez Fontana. Il publieras donc plusieurs disques, mais peu à peu il abandonneras sa carrière de chanteur-humoriste au profit du saxo pour Claude François.

 

 

Quand il le quitte entre 1967 et 1969 (selon diverses sources ?), c'est pour un retour à la chanson sur Festival dans le même esprit que les disques précédents.  Dans les années 70, il anime avec Danièle Gilbert  "Midi trente" puis tourne à la télévision avec Thierry Le Luron, Charlotte Julian et Henri Salvador, jouant de tous les instruments en tant que jazzman.

 

En 1973, il succède à Jean Broussole dans les Compagnons de la chanson où il est encore auteur de quelques titres, jusqu'à leur tournée d'adieu en 1985.

 

 

A près cette période, il écrit régulièrement pour les autres mais aussi le thème du feuilleton TV d'Antenne 2 "Le Petit monde de Tom Sawyer" et "Tom Sawyer".

Il apparaît en chien au Club Dorothée en animant une chronique musicale qui finit par une chanson de son cru.

 

En 1986, il crée la comédie musicale pour enfants "Doggy Dog" ainsi qu'un autre spectacle pour enfants en 1988 "Le Mystère des quatre clés". Ensuite et jusqu'aux dernières nouvelles, il se produisait toujours avec son Swing Song Orchestra. Enfin, il est l'auteur du livre "Gaston raconte Les Compagnons" écrit avec Yves Turbergue, en 1985.

 

 

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13 mars 2018 2 13 /03 /mars /2018 18:14

Vous trouverez cette série d'articles
sous 2 formes :

En texte
(avec la référence de l'endroit où j'ai trouvé l'article)

 

En lien
(si celui-ci existe encore... car beaucoup disparaissent au bout d'un moment)

Quelques souvenirs de Claude en tournée
Claude aimait Deauville et Trouville

 

Visite privée ou apparition publique, Claude François a beaucoup fréquenté la
Côte fleurie. La première trace de sa venue à Deauville (Calvados) date du

22 juillet 1963, quelques mois après son deuxième passage à l’Olympia, où il participait à un gala consacré aux jeunes chanteurs, surnommés à l’époque « idoles des jeunes ». Le chanteur, alors âgé de 24 ans, pose sur les planches de Deauville en compagnie de quelques jeunes filles. Il n’est encore qu’au tout début de sa carrière. Sa notoriété ne lui permet déjà plus de passer inaperçu au milieu de la foule des vacanciers.

 

 

Au casino de Trouville

 

 C’est l’été. La Reine des plages, étape incontournable des tournées, accueille son lot de chanteurs populaires. Le 26 août 1965, Claude François se produit dans le cadre d’un dîner-spectacle au casino de Trouville. En complet sombre, chemise blanche et cravate noire, la star chante, danse avec énergie et se déchaîne à la batterie dans le Salon des Gouverneurs. Le public, très familial, néglige son repas pour taper des mains et bouger sur le rythme des chansons. C’est l’année où Claude François enregistre une quinzaine de titres,
dont Les Choses de la maison et Même si tu revenais.
 

 

Sur le toit de la piscine de Deauville

 

Il faudra attendre plus de 10 ans, et plus précisément le 20 août 1976, pour trouver des images de Claude François à Deauville. Accompagné des Clodettes, le chanteur interprète Cette année-là sur le toit de la piscine, la photo est restée célèbre. Quelques jours plus tard, en septembre, à l’occasion d’un cocktail organisé pour le lancement du parfum Eau Noire qu’il a créé,
il arrivera au bras de Kathalyn Jones, sa nouvelle compagne.

 

Claude François et ses Clodettes en août 1976 sur le toit de la piscine de Deauville (©Photothèque Fabien Lecoeuvre)

 

Dans les jardins de l'hôtel Normandy

 

Six mois avant sa disparition, Claude François choisit le décor d’un hôtel sur la Manche pour chanter « deux nuits d’orage fantastique dans un hôtel sur l’Atlantique » les paroles de C’est comme ça que l’on s’est aimé. 
Nous sommes en plein festival du cinéma américain à Deauville. Pour son émission Les Rendez-vous du dimanche qui sera diffusée le 11 septembre 1977, Michel Drucker a invité Claude François. La séquence est tournée deux jours avant, le 9, dans les jardins de l’hôtel Normandy. Kathalyn Jones avec qui il interprète d’habitude cette chanson n’est pas à Deauville. Elle est remplacée par les Clodettes qui donnent la réplique au chanteur du haut d’un balcon de l’hôtel. 

En octobre, Claude François est la co-vedette d’une émission franco-britannique, tournée en partie Deauville, et présentée par Cliff Richard. Il y interprète plusieurs titres dont une adaptation en anglais de Chanson populaire et So Near and Yet so Far. Ce sera sa dernière escapade sur la Côte fleurie.

 

En 1976, dans les cabines sur les Planches de Deauville (Calvados). ©Photothèque Fabien Lecoeuvre)

 

(Par Sophie Quesnel, Publié le 11 mars 2018 à 10h48 sur actu.fr)

Canet-en-Roussillon :
A l'une de ses premières représentations, en 1963, Claude François en larmes dans les coulisses

 

Alain Durand, qui habite à Saleilles (Pyrénées-Orientales), a assisté à l'un des premiers concerts de Cloclo**. L'artiste s'était fait huer
avant de fondre en larmes en coulisses.
À 71 ans, Alain Durand se souvient comme si c'était hier de ce concert à l'époque, il va voir toutes les stars de la chanson en concert avec sa sœur.
Ce soir-là, 300 personnes sont présentes au casino de Canet-en-Roussillon pour voir Claude François, "un nouveau chanteur". Cloclo entame son répertoire : Je pense encore à toi, La ferme du bonheur ou encore Belles, belles, belles.
Après 20 minutes de concert, le chanteur passe à Hey potatoes... puis dit au revoir et quitte la scène. "Ça a été les huées et les sifflets", se remémore Alain.
Au bout de cinq minutes, Claude François revient sur scène, réinterprète Hey potatoes et repart. Définitivement. "Alors là, ça a été les huées de toute la salle pendant au moins 10 minutes !"

 

Connaisseur du lieu et habitué à se glisser au plus près des stars,
Alain Durand franchit le portillon qui permet d'accéder aux loges.
"Dans le couloir, qui je vois ? Monsieur Claude François, avec son imprésario." Mais la star est loin d'être en forme : "Je me suis approché et j'ai vu qu'il pleurait. Il sanglotait la tête baissée." C'est un choc pour Alain.
"J'ai été gêné. Ça m'a coupé. Jamais je n'aurais pensé le voir pleurer." Ils sont tous les trois seuls dans le couloir. "Je n'ai pas voulu le déranger. Je voulais un autographe mais je n'ai pas ouvert la bouche." Claude François continue de pleurer et signe à la chaîne des photos de lui pour que son imprésario les donne à ses fans. "C'est gravé dans ma mémoire, Claude François qui pleure."

 

Son imprésario lui explique la situation : "Il ne faut pas le déranger parce qu'aujourd'hui ce n'est pas une belle journée pour lui. D'abord, vous l'avez vu sur scène, il a été sifflé. Il a horreur de ça. Et il a aussi appris par le casino
que sa mère avait dépensé tout son cachet aux jeux."
 

 

(Par Clémentine Vergnaud, publié le 11 mars 2018 à 07:03 sur France Bleu Roussillon)

 

** Dans l'article, il n'est question que de l'année.
Par contre, dans le livre "Claude François" paru aux Editions Vade Retro en 1995,
il est question d'un concert donné le mercredi 21 juillet 1963
à Le Cannet et Juan-les-Pins.

 

 

Maubeuge :
Quand Claude François faisait danser le public de la Kermesse de la bière

 

Joël Alain, l'animateur historique de la Kermesse revient sur les concerts organisés dans la région.  C'était le 11 juillet 1965. Cette année-là, un grand chapiteau était monté à Maubeuge, pour la célèbre Kermesse de la bière. Parmi les têtes d'affiche : la star, le génie, Claude François. "A l'époque Claude François faisait des concerts à Maubeuge, à Dunkerque, à Arras, Valenciennes... C'était une autre époque, il n'y avait pas de Zénith, les artistes se déplaçaient dans des chapiteaux pour vendre des disques"

 

 

"C'était une bête de scène incroyable, avec une technique, une rigourosité...
C'était une machine à faire du spectacle
", explique Joël Alain. "Il était toujours en avance sur son temps et avait le souci de bien faire."

 

(Par Jeanne Blanquart, p

 

Il y a 52 ans, Claude François donnait un concert à Lurcy-Lévis (Allier)

 

 Les habitants de Lurcy-Lévis se souviennent encore du concert donné par le chanteur dans ce village de l'Allier. C'était il y a 52 ans, le 3 juillet 1966**. 

Invité par le comité des fêtes, l'artiste n'était pas encore au sommet de sa gloire ni accompagné de ses Clodettes. 600 à 700 spectateurs étaient quand même attendus et la salle des fêtes était trop petite pour accueillir le concert de Cloclo. Les organisateurs s'étaient donc repliés dans les locaux désaffectés de l'usine Baudin, transformés pour la circonstance en une immense salle de cabaret.

 

© photo DR

 

La scène avait été montée à la hâte et décoré d'un fond peint par un artiste local, Michel Grisard. Claude François a fait un show d'une heure, se souvient Roger Néant, le président de l'Office de tourisme du Pays de Lévis. Il avait 19 ans à l'époque et était fan du chanteur : « C'était un événement pour Lurcy-Lévis ! Je me souviens qu'à la fin du spectacle, il a jeté sa chemise dans le public et des filles se sont battues pour la récupérer».

Roger Néant se rappelle aussi du départ précipité de Claude François dans sa Ford Mustang aussitôt le concert terminé. 

(Par Daniel Garat, publié le 11/03/2018 sur le site lamontagne.fr)

** Dans l'article, il est question du 3 juillet 1966.
Par contre, dans le livre "Claude François" paru aux Editions Vade Retro en 1995, il n'est pas mentionné de concert à cette date.

 

 

Quand Claude François faisait danser et crier Clermont

 

Clermont-Ferrand n’a pas échappé à la Cloclomania.
Dans les archives de La Montagne, on retrouve au moins trois galas dans les années 70. Avec de gros succès, des petites anecdotes et un bon coup de croc. L’histoire entre Clermont-Ferrand et Claude François débute, selon les archives de La Montagne, le
10 juillet 1971 au théâtre de Verdure…
Nous dirions aujourd’hui le jardin Lecoq.

Le gala organisé, par le comité des fêtes clermontois auquel participait également au titre de vedette Thierry Luleron, avait attiré « 5.000 jeunes (et moins jeunes) personnes » précise l’article de l’époque. Elles ont assisté au show chauffé, en première partie, par l’humoriste Patrick Topaloff… Toute une époque.

 

« Les cris stridents de ses fanatiques » ont accueilli Cloclo qui a lancé sa prestation avec Cherche, puis C’est la même chansonLe monde est beau, le monde est grand

 

« La technique est parfaite, les danseuses magnifiques, les danses modernes très agréables et le public déchaîné devant l’idole » précise le journaliste...

 

Archives du Théâtre de Verdure, le 10 juillet 1971

 

Rebelote le 20 juillet 1972, la pluie en plus : le gala est donc transféré à la Maison des sports. Claude François est la seule vedette applaudie par, là encore, « 5.000 personnes en délire ». Elles avaient acheté leur place entre 12 et 25 francs et les organisateurs leur avaient bien rappelé qu’« il est interdit d’escalader les grilles et que toute personne occasionnant des dégâts
de quelque nature que ce soit sera poursuivie ».

(Article publié le 11 mars 2018 à 11h41 sur le site Lamontagne.fr)

Claude François à Forbach : son premier concert après l'attentat de l'IRA

 

Blessé aux tympans dans l'attentat de l'Hilton à Londres le 5 septembre 1975, Claude François remonte sur scène à Forbach sous l’immense chapiteau doté d’un podium électronique qu’elle avait installé sur la place des Fêtes de Creuzberg deux semaines plus tard, le 21 septembre 1975**. Un concert organisé par la Société des mineurs, un test pour le chanteur qui souffrait encore et qui fut contraint de repousser une première fois son gala.

 

(Photo archives RL)

 

Sans exagérer, on peut affirmer que cette soirée fut triomphale, car le chapiteau était « plein comme un œuf », 3 500 ou 4 000 personnes y ayant trouvé place en s’entassant sur les bancs autour des tables. Dès 18 h 30 ou 19 heures, bien que l’accès ne soit autorisé qu’à partir de 20 h, on faisait la queue devant l’immense tente, afin d’y trouver une bonne place, aussi près que possible de la scène.

Disons tout de suite que la première partie de la soirée, avec Raymond Slozade et son orchestre, ainsi que diverses attractions, fut appréciée par la quasi-totalité d’un public survolté qui attendit « Clo-Clo » et ses « Claudettes » jusqu’à minuit.
En effet, ils auraient dû entrer en scène à
23 h, mais Claude François, mal remis de son opération des tympans, s’est reposé une heure de plus dans la caravane qui avait été prévue à son intention.

À minuit, avec les « Claudettes », il fit son entrée en scène, sous une avalanche d’applaudissements et sous les hurlements de joie de ses admiratrices déchaînées.
Pendant près de deux heures, il présenta son « one man and six women show ».

 

(Photo archives RL)

 

(Article publié le 11 mars 2018 à 06h00 sur le site republicain-lorrain.fr)

** Dans l'article, il est question du 21 septembre 1975.
Par contre, dans le livre "Claude François" paru aux Editions Vade Retro en 1995, il est question d'un concert donné à Forbach le samedi 20 septembre 1975.

 

Tours en février 1977**

 

Un public en liesse, composé de plus de 2000 personnes, est venu l'écouter sous une énorme bulle installée sur la place de Garde de Tours. L'événement était organisé par La Nouvelle République et la radio RTL

 

Photo archives, NR, Gerard Proust

 

Voiture prise d'assaut, malaise dans le public... durant cette semaine de défilés de vedettes et de concerts, celui de Claude François fut l'un des plus mouvementés.

 

Photo archives, NR, Gerard Proust

 

Photo archives, NR, Gerard Proust

 

(Article paru le  11 mars 2018 sur le site lanouvelle republique.fr)

 

** Dans l'article, il est question de février 1977.
Par contre, dans le livre "Claude François" paru aux Editions Vade Retro en 1995, il n'est pas mentionné de concert à cette date.

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13 mars 2018 2 13 /03 /mars /2018 12:20
Guy Floriant
Guy Floriant
Guy FLORIANT,
directeur artistique de Claude François
de 1974 à 1978

 

Né à Paris dans le XIVe arrondissement, Guy Floriant passe une grande partie de son enfance  sur le continent africain. Dès son retour dans la capitale, il s'inscrit en fac de droit pour y rester trois ans.

 

Musicien surdoué, il accompagne Rod Stewart et Jeff Beck comme bassiste et clavier, et d'assurer quelques remplacements du contrebassiste d'un groupe de rythm and blues "Les Enfants Terribles" créé par Alain Féral.

 

 

 C'est la compositrice Alice Dona qui le présente à Claude François qui l'engage tout d'abord comme assistant puis comme directeur artistique.
Il signe l’album Sale bonhomme (1976).

« Avec des chansons d’enfant, je voulais renouer avec le Claude François du Jouet extraordinaire, envers un public plus familial et moins “chanteur à minettes”.» Son surnom, donné par Claude : "Sauvagnarques", inspiré par Jean Sauvagnargues, ministre des Affaires étrangères de 1974 à 1976.
Celui qui arrange les crises avec diplomatie.

 

Son titre préféré de Claude ?

« Par la beauté des arrangements de cordes », Guy Floriant a un faible pour Toi et le soleil, « morceau reggae » et adaptation de I Can see clearly now Guy Floriant adore particulièrement Le Lundi au soleil, « Petit chef-d’œuvre, tranche de vie, titre entraînant et vrai. »
Et salue un homme à part. « Avec Claude, c’était cash. Cloclo, quoi. »

 

Il joue aussi le photographe lorsqu'il accompagne Claude
et ses deux fils en Finlande.

 

Embauché chez Barclay dès le mois suivant le 11 mars 1978 où il restera six ans,  Guy Floriant tirera de son engagement chez Claude « une très bonne expérience : en sortant, je me sentais assez balèze en production ».
Au contact d’un « personnage irritant mais brillant ».

 

Après Barclay, il devient grand reporter pour l'agence Sygma et fonde une agence de publicité. Compositeur et parolier, Guy Floriant a collaboré avec d'autres artistes tels que : Gilbert Montagné, Nicolas Skorsky, Rémi Bricka, Dani, Karen Cheryl et Marie Laforêt, etc.

 

Également écrivain, il signe les ouvrages suivants sur Claude : 

 

Guy Floriant

Ce premier livre de 1988 ressortira 10 ans plus tard sous le titre "L'enfer du décor"
On y trouve en plus du nom de l'auteur, celui d'Olivier Delavault.
Et ce deuxième livre reprend pour la première fois
toutes les adaptations effectuées par Claude.

Guy Floriant & Olivier Delavault
Olivier Delavault & Guy Floriant
Guy Floriant

 

Cet inconditionnel des Stones l’admet : « Je n’ai jamais été musique française. » Pourtant, ce pan de vie le suit inexorablement. Sa collaboration entre 1974 et 1978 avec Claude François. « Claude. » Guy Floriant observe de loin les hommages, ce 11 mars. « Parce que j’ai toujours de la peine de voir les copains vieillir… » Lui aura 70 ans en juillet. Dont 40 passés dans le milieu musical.

 

Il vit aujourd'hui à Saint-Sauveur-en-Puisaye,
où il tient avec son épouse  Elisabeth une maison d'hôtes

 

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  • FRED
  • Je suis collectionneur de tout ce qui a un rapport avec le chanteur Claude François et donc, j'aime commenter l'actualité posthume de l'idole de mes 17 ans.
Mais, je suis également amateur d'autres styles de musiques comme le Jazz et le Swing dont les Crooners sont les parfaits représentants.
  • Je suis collectionneur de tout ce qui a un rapport avec le chanteur Claude François et donc, j'aime commenter l'actualité posthume de l'idole de mes 17 ans. Mais, je suis également amateur d'autres styles de musiques comme le Jazz et le Swing dont les Crooners sont les parfaits représentants.

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